Le Calvaire DUne Jeune Fille. 6
Le calvaire dune jeune fille. 6
Préface.
Pour cette fois, lhistoire que je vais vous conter est une histoire vraie vécue par une correspondante qui ma demandé de remanier le texte brut quelle menvoie.
Je ne ferai que le minimum de retouches sur son texte. Je ne sais pas si sa malheureuse aventure sera autorisée à être diffusé sur ce site mais je lespère pour mettre en garde toutes les jeunes filles et les femmes sur les hommes qui ne respectent pas leur compagne.
Il y aura moins de sexe, pas de fantasme mais la vérité crue.
Je lui laisse la parole.
Quelques mots de Kris, (bien sûr les prénoms ne sont pas les bons).
Je sais que cette histoire nest pas plaisante à lire et encore moins, de lavoir vécue.
Jessaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
Cest pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site nest pas le plus « approprié » mais jai besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin nest peut-être pas la personne que vous croyez.
On sest rencontrés à lâge de 17 ans, on est sortis ensemble quand javais 18 ans mais mon histoire « horrible » a duré un an et demi.
Sachez que tout ce vous lisez est la vérité, tout est peut être surréaliste et pourtant...
Il est allé trop loin.
- Je veux te bander les yeux et te menotter au lit, tes sens seront décuplés, tu noublieras jamais cette soirée, crois moi.
- Daccord, je veux bien tester mais on a rien de tout ça.
-Tinquiètes, jai tout préparé, jai acheté une paire dans un sex-shop et je te banderai les yeux avec une écharpe ou une serviette.
Je noublierai pas cette soirée
effectivement, ça allait être le cas.
On se retrouva nus dans sa chambre. Il mattacha au lit et me banda les yeux. Ne plus voir et être entravée étaient bizarre.
-Ton partenaire est le maitre de ton corps. Attend, Kriss, je reviens.
-Daccord, pas de soucis.
Ces quelques minutes, seule, attachée, les yeux bandés, mexcitait au plus haut point. Je lattendais avec impatience.
Il revint dans la chambre et sexcusa du temps quil avait mis mais que le jeu allait commencer.
Il voulait savoir si je pouvais reconnaître les saveurs de certains produits et me les présenta à la bouche (jai eu pas mal de fruits quon avait mangé la veille, du chocolat, quelques boissons et même des odeurs)
Cétait sensuel de sa part, je trouvais que cétait une bonne idée.
Il se mit de plus en plus à membrasser, à mettre sa langue, à me toucher en long en travers, et à me mettre des doigts.
Jétais excitée, je mouillais pas mal et il commença à me faire un cunni
Un orgasme sortit de mes entrailles, cétait bon ! Cet orgasme était la preuve dune jouissance, un vrai orgasme après des mois à simuler ou à fermer ma gueule.
- Oh, je vois que tu aimes ça, petite coquine.
- Continue, jadore.
Jhaletais de plus en plus. Pour rien au monde, je voulais quil sarrête. Cétait un moment de plaisir et de détente, MON moment depuis des mois.
Il fit une pause et quitta le lit.
- Mais, quest-ce que tu fais ? Cest trop bon, continue stp .
-Je bois un coup et je suis de nouveau à toi.
Je lentendis boire son eau à la bouteille et il revint sasseoir sur le lit.
- Mouais, jai plus envie de continuer mon cunni .
-Stp, regarde comment je mouille, continue ! Ne tarrête pas.
- Dis-moi le mot magique.
- Jai dit stp.
-Pas celui-là.
«
»
- Tu sais ce que je veux entendre.
- Bouffe ma chatte de salope ! Le suppliais-je, pleine denvie.
- Jaime quand tu me parles comme ça.
Il reprit de plus belle son cunnilingus encore et encore, jéprouvais du plaisir. Cétait intense, je gémissais et un nouvel orgasme surgit, je voulais quil me la mette.
Sentant que jétais prête, il arrêta son cunni et me demanda :
-Dis-moi que tu la veux !
- Je suis chaude, va-y !
Si quelquun avait pu mobserver, il aurait vu une meuf qui navait pas eu de rapports sexuels épanouis depuis des mois et qui aurait sauté sur nimporte quel individu.
Ses va et vient étaient différents des derniers coïts quon avait eu, enfin il était doux et essayait de me faire plaisir.
On sembrassait avec fougue, il samusait avec mes seins, il jouait avec mes cuisses
Il me semblait que son odeur corporel était différente des dernière fois, il avait une odeur aimante qui dégageait un halo dagrume. Un nouveau parfum, peut être ?
Je ressentais le niveau de la pénétration, son engin me paraissait plus large mais cétait sans doute lexcitation de ne pas le voir et de pouvoir le toucher qui me jouait des tours.
Mais pour la première fois de ma vie, je ressentais un réel plaisir par la façon quil avait de faire vibrer nos corps à lunisson. Pourquoi a-t-il attendu si longtemps pour me faire connaître ça ?
Il me prit en cuillère un moment avant de semporter :
- Bon, assez joué, jen ai marre.
Cest là que je compris enfin la dépravation de cet homme que je croyais encore aimer.
Axel retira le bandeau de mes yeux. A ma grande stupeur, il était debout devant moi, la bite dressée, avec un gros sourire de pervers.
Jeu un moment dabsence et de panique une fraction de seconde ; ma conscience sinterrogea : « Attend
si Axel est devant toi
qui est actuellement en train de te fourrer ? »
- Je te présente X
, cest un copain à moi.
Je me retournai et le vis.. Il me salua dun simple « Yo »
Il sen foutait royal de ma gueule et continuait à faire son affaire.
Je meffondrai en larmes, je faisais lamour avec un autre homme sans en être consciente. Cétait bizarre car malgré que je sois outrée de la situation et que cet inconnu arrive à me faire vibrer comme jamais Axel navait pu le faire.
Je les suppliai darrêter.
Pour faire au plus court, ils se sont amusés avec moi, ils tournaient entre eux, me prenaient en sandwich, marrosaient de leur sperme dans mes orifices, minsultaient de tous les noms (que jétais la meilleure meuf quil ait baisée par rapport aux meufs de cité (cétait un rebeu), jétais une chienne, une esclave, une soumise)
Ils ont fini par me détacher et je me suis enfermée toute la soirée dans la salle de bain, nue et souillée. Je nai pas dormi cette nuit-là car cétait impossible
Jessayais de me nettoyer de la crasse mais impossible tellement je me sentais sale.
Pendant que jétais traumatisée, eux samusaient à fumer, picoler et prendre de la cocaïne dans le salon en rigolant.
Je suis sortie de la salle de bain à laube, jai pris quelques affaires je suis rentré chez moi.
Je voulais en parler à ma mère mais je nen ai jamais eu le courage.
Jétais perdue dans un labyrinthe. Honteuse den parler, personne vers qui me tourner, seule la solitude pesait sur moi. Jai passé des mois cloitrée chez moi, à me laminer sur mon sort. Jai pleuré pour toute une vie, mes larmes narrêtaient pas de couler.
Moi, Kriss, qui en faisait tourner plus dun, était devenue une sombre merde. Je décidai de balancer Axel, cétait lui ou moi
Je pouvais pas laisser une telle ordure, un taré de la vie, se promener dans notre société. Et sil recommençait ? Et sil faisait subir ça à sa famille ou à sa prochaine copine ?
Impardonnable pensais-je. Il fallait que justice soit faite. Mais comment faire ? A qui en parler ?
Ces questions me trottaient dans la tête des jours et des jours puis me vient une idée : Jallais retourner tout le mal dAxel sur lui.
Après des mois sans sortir de chez moi, je me rendis à notre petit « chez nous » pour récupérer la preuve irréfutable de qui était vraiment Axel : sa mini camera despion. Dedans y était enregistré photos et vidéos de tous ses vices.
Pour me soulager, je cassai tout dans le studio, ça me fis un bien fou mais ce nétait pas dans ma nature dêtre comme ça. Il fallait vraiment que ça cesse.
Je demandai aux parents dAxel quon se voit entre nous, ils acceptèrent tout de suite. Dieu, comme ce fut douloureux mais jexpliquai qui était vraiment leur fils, ce sadique manipulateur.
Naturellement, ils ne me croyaient pas par amour de leur fils mais honteuse, je leur montrai les vidéos et photos.
Jexpliquai aussi les fois quand ils mont vu nue que cétait son idée de mhumilier.
Ils étaient abasourdis par lhorreur de ce quils voyaient... Voir ainsi leur fils les rendait malades. Sa belle maman se souvenait du bleu que javais lorsquelle mavait posé la question.
Cest là quils décidèrent de le faire interner dans un hôpital pour le soigner de ces addictions au sexe, à lalcool, à la violence, à la drogue.
Pour ma mère, je mentis à son sujet en disant que cétait fini entre lui et moi sans rentrer dans les détails et que jétais triste. Ca me rendait malade de mentir à ma mère. Pour mes études, je lui avais dit que le cursus ne me plaisait guère et que javais des envies dailleurs. Cétait aussi un moyen de séchapper dici.
Hormis ma mère, plus rien ne me retenais en France et cest ainsi que je partis à létranger pour fuir tout ça.
Voilà, jai fini avec mon histoire. Je sais que cette histoire nest pas plaisante à lire et encore moins, de lavoir vécue.
Jessaye au mieux de me reconstruite et mon nouveau compagnon y contribue chaque jour.
Cest pourquoi je veux que mon histoire soit publiée. Si, elle est vraie. Ok, le site nest pas le plus « approprié » mais javais besoin de laisser une preuve écrite de mon expérience et peut être, faire prendre conscience à certains que votre voisin nest peut-être pas la personne que vous croyez.
Fin.
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